L’orgue de l’église Saint-Didier à Villiers-le-Bel, datant de la seconde moitié du XVIIe siècle, est un instrument remarquablement conservé. Le grand buffet de huit pieds, d’une simple et noble ordonnance est à trois tourelles : celle du milieu, la moins haute, est surmontée d’un ange de fière allure sonnant d’une longue trompette. Le positif, rapporté […]
La JPGF accueille l’association MOLERIAE à Fosses et à Villiers-le-Bel
La JPGF accueille l’association MOLERIAE à Fosses et à Villiers-le-Bel. Moleriae est une association européenne, créée lors du colloque international sur l’industrie meulière qui s’est tenu à la Ferté-sous-Jouarre en 2002. Cette association très dynamique regroupe plusieurs maires de villes où une importante industrie meulière a existé depuis l’Antiquité jusqu’au XIXè siècle, et de nombreux […]
Colombiers et pigeonniers en Pays de France
Définition Le dictionnaire de Furetière, paru en 1690, définit ainsi le colombier : lieu où l’on tient les pigeons et précise que «l’on appelle colombier un bâtiment à pied qui a des boulins* jusqu’au rez-de-chaussée pour tenir grand nombre de pigeons». Le «Littré de 1880», définit le pigeonnier : «habitation préparée pour les pigeons domestiques» […]
Histoire de l’apiculture
Histoire de l’apiculture en Pays de France et dans le Val d’Oise “L’apicullure dans le Pays de France était fortement représentée avant la dernière guerre mondiale. A Villiers-le-Bel, presque chaque jardin avait son rucher”. Cette phrase de Monsieur Cabuy, apiculteur dans notre canton, nous a incité à effectuer une enquête ethnographique afin d’en apprendre […]
Les travails des maréchaux-ferrants
Cette étude ne prétend pas décrire la technique du ferrage des animaux, mais évoquer, par un survol rapide, ce que furent les “travails”, leur utilisation par les maréchaux-ferrants et leur répartition sur le territoire national. Cet objet a parfois été assimilé à un instrument de torture. En 1690, le dictionnaire «Le Furetière» décrit les travails […]
Les pailleux en Pays de France
En 1867, l’approvisionnement de Paris nécessitait, tous transports confondus, l’emploi d’environ 80 000 chevaux. La gestion de ce grand nombre de chevaux engendrait l’usage d’une quantité de paille d’environ 30 millions de bottes de 5 kg pour atteindre un maximum de 33 millions en 1905. 88 chariots en moyenne par jour pénétraient dans Paris, (à raison de […]